Récemment, j'ai lu
Nuit, d'Edgar Hilsenrath. La quatrième de couverture annonce la couleur ... "1941. C'est la nuit permanente sur le ghetto de Prokov. Au fil des
jours, égaré dans un décor apocalyptique, Ranek lutte pour sa survie.
Réduits à des ombres, comme s'ils n'avaient plus ni âme ni corps, les
personnages beignent dans le brouillard. Pourtant, les scènes d'amour
hâtives, de solidarité ou de naissances au milieu du ghetto montrent
que, même plongée dans l'horreur, l'humanité s'accroche."
J'ai eu envie de faire quelque chose à propos de ce livre magnifique mais très, très dur à lire.